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Berceau de la famille des ducs de Rohan, les vestiges du temps peinent à être mis en valeur. L'historien et maire de Rohan, Victorien Leman, nous éclaire. Par Roselyne Belz Publié le 24 Août 22 à 800 La Gazette du Centre Morbihan Victorien Leman, maire de Rohan, est également historien spécialiste du Moyen Age. ©Roselyne BelzRue des Douves, rue du château, ces rues indiquent bien la présence d’un château, mais où est-il ? Il faut imaginer dimmenses tours de plus de 20 mètres dominant les alentours. Il s’étendait de la motte castrale sur laquelle est aujourd’hui installé le cimetière, près de la chapelle Saint-Martin, jusqu’à la roche dominant la rivière où l’on retrouve aujourd’hui la maison de santé. Quelques vestiges de murs résistent en terrain privé. C’est la particularité de Rohan, le patrimoine ne saute pas aux yeux, il faut prendre un peu plus de temps pour le découvrir ou être guidé. Avec les moyens d’une petite commune, il n’est pas évident de mettre en valeur son patrimoine, d’autant plus lorsqu’il a disparu. Pour accentuer la visibilité de son passé prestigieux, un lieu d’interprétation avec des reconstitutions pour montrer l’évolution de la ville et expliquer le contexte historique serait intéressant ». La mise en place du pays d’art et histoire est un espoir de voir de nouveaux projets de valorisation se créer. Au début du 12e siècleSi des traces d’occupation de la commune existe depuis l’époque gallo-romaine, les origines du château remontent quant à elles au début du 12e siècle. Un texte de 1127 atteste de la fondation du prieuré Saint-Martin, construit au porte d’un nouveau château Roc’han, c’est le petit rocher, le château est venu s’installer dessus, quasiment les pieds dans l’eau. Quand ils le construisent, ils ne s’appellent pas encore de Rohan. C’est un certain Alain, il est vicomte. A l’époque c’est une fonction publique, associée à un lieu. Quand il est à Josselin il est vicomte de Porhoët. Progressivement, lui et ses descendants deviennent vicomtes de Rohan, cela se systématise à partir des années 1160 . Les pierres à TimadeucA partir du 16e siècle le château est progressivement délaissé. Les Rohan deviennent de grands courtisans et sont plus souvent à la cour de France. Le château continue de vivre pour l’exercice des droits seigneuriaux et de la justice. Par contre on sait qu’il est en ruine au 18e siècle », explique le maire Victorien Leman. Le 20e vicomte de Rohan est fait duc et pair de France au début du 17e siècle par le roi Henri IV. Avec cette élévation sociale, ils obtiennent le droit de siéger à la cour de France. Une position très prestigieuse, qui associée à la construction des autres châteaux de Josselin et Pontivy, voit celui de Rohan 19e siècle il sert de carrière de pierres. En 1848, un groupe de moines arrive avec pour but de construire une abbaye, le duc leur donne l’autorisation de récupérer les pierres du château. Beaucoup sont donc à Timadeuc. En même temps, l’école du château, qui offrira de nombreux savoirs aux enfants de la commune jusqu’à la fin du siècle dernier, s’installe dans la en ce moment sur ActuPlus récemment, c’est la maison de santé qui a poursuivi l’histoire de cette esplanade, faisant face à la chapelle de Bonne Encontre flanquée sur l’autre rive, comme en leur temps les probables tours de l’ancienne place forte. En amont de sa construction, un diagnostic archéologique a été réalisé en 2015. L’archéologue en charge du projet nous conte les conditions et les résultats obtenus. Karine Vincent, archéologue, revient sur les dernières fouilles du château. ©Roselyne BelzDes vestiges abîmésDes fouilles archéologiques ont été menées en 2006 dans la basse cour, puis à nouveau en 2015 sur l’éperon rocheux préalablement à l’installation de la maison de santé. Les vestiges étaient tellement râpés qu’il n’y a pas eu de fouilles préventives et le projet de construction a eu lieu, mais avec quelques modifications sur la profondeur des fondations pour ne pas abîmer le peu qu’il reste », explique Karine Vincent, archéologue du département en charge du diagnostic de 2015. Mené sur sept jours en plein mois de février, l’exercice a été difficile. Nous avons dû faire un sondage profond tout en préservant les arbres et l’accès à la bibliothèque. Le tout dans une zone contrainte, inondée, sous la pluie et même la neige. Il faut aller vite, c’est plus compliqué pour nous, mais les données on les obtient. Le résultat ? Les traces d’un four, l’existence d’un fossé très profond séparant deux zones de basse-cour marqué d’un mur de 3,10m de large signalant la présence d’une courtine qui a été préservé de la récupération des pierres par le grand foire puis un parking Il s’agirait plutôt d’une double enceinte, une enceinte principale avec une porte vers le bourg castral et une plus petite enceinte en éperon séparé d’un fossé profond. C’est un plan que l’on retrouve régulièrement pour les châteaux qui servent de point de défense. Face au guet et dominant la rivière, il forme un angle qui défend tout le château derrière. L’équipe qui a retrouvé des éléments de fondation d’une courtine suppose la présence de tours aux angles, mais les fouilles n’ont pas pu atteindre ces espaces. Après l’occupation du château, ce fut une grande place de foire aux 18e-19e siècles, puis un vaste parking. Ces usages ont scalpé les traces au fur et à mesure. Une base de colonne témoigne cependant d’une architecture soignée, comme fenêtre sur la grandeur passée du château de Rohan. C’est un château peu documenté, qui reste assez peu connu, à l’avantage des autres châteaux construits après Pontivy, Josselin ou Blain », fouilles auront au moins permis de donner raison au chanoine Le Mené qui en 1916 déjà, envisageait un château en double-enceinte, à la différence de l’abbé Martin en 1924 qui l’envisageait en une seule article vous a été utile ? Sachez que vous pouvez suivre La Gazette du Centre Morbihan dans l’espace Mon Actu . En un clic, après inscription, vous y retrouverez toute l’actualité de vos villes et marques favorites. . 428 209 29 79 422 426 156 76